Dans la citadelle des ténèbres, Strider, seigneur farouche et fier, mène
un double combat. Contre le démon de la guerre, d’abord, qui le hante
et le condamne à gagner tous les défis. Contre Kaia, ensuite, une jeune
harpie sublime et indomptable, qui cherche à le séduire et à laquelle il
refuse de céder. Car Kaia, autrefois, a eu pour amant Paris, son
meilleur ami, et passer après lui serait le pire des déshonneurs — et un
échec que « Guerre », son démon, lui ferait payer très cher.
Mais un jour Kaia reçoit une étrange invitation. Ses sœurs — qui l’ont bannie de leur clan à l’âge de quatorze ans pour avoir libéré un esclave —, la convient aux Jeux des harpies. Intrigué, Strider décide d’accompagner Kaia. Mais à peine est-il entré dans l’arène que la vérité s’impose à lui : les Jeux ne sont qu’un piège tendu à la belle harpie par ses rivales. Un piège mortel dont lui seul peut la sauver…
Mais un jour Kaia reçoit une étrange invitation. Ses sœurs — qui l’ont bannie de leur clan à l’âge de quatorze ans pour avoir libéré un esclave —, la convient aux Jeux des harpies. Intrigué, Strider décide d’accompagner Kaia. Mais à peine est-il entré dans l’arène que la vérité s’impose à lui : les Jeux ne sont qu’un piège tendu à la belle harpie par ses rivales. Un piège mortel dont lui seul peut la sauver…
Mon avis.
Nouveau tome des Seigneurs de l'ombre et j'avoue qu'après un petit passage à vide avec les 2 tomes précédents, je commence à retrouver ce qui me plaisait tant dans la série. Le changement de décor n'y est surement pas pour rien, mais le couple mis en avant dans ce 8e opus fait une grosse part du boulot !
Nous retrouvons donc notre ami Strider, gardien du démon Guerre (démon qui doit quand même avoir 2 de QI puisque l'étendue de son vocabulaire se résume à un seul mot : VICTOIRE. Alors après, on a des variante de ponctuation tout de même : Victoire ? Victoire ! Victoire... ^^), bref, le coco doit toujours tout gagner ! Pas simple d'avoir une conversation avec Strider quand celui-ci prend tout ce que vous dites comme un défi... Comme tout seigneur de l'ombre, il a tout de même quelques qualités (faut bien ça pour compenser le fait qu'ils ne soient pas super futés les cocos...) : il est magnifique, a une paire de fesses à se damner et je ne vous parle même pas du reste de son anatomie... pour faire simple, l'auteure nous précise bien que lorsque celui-ci est en mode furtif et se planque dans les fourrés histoire d'espionner de méchants ennemis "son érection est tellement importante qu'il creuse de véritables sillons dans l'herbe"... really ??? Pas super discret, si vous voulez mon avis :)
Concernant la demoiselle de l'histoire, ce n'est pas une inconnue puisqu'on l'a déjà croisé plusieurs fois. Kaia est la sœur de Gwen (cf tome 4), elle aussi une harpie pur jus au caractère bien trempé ! Et elle est folle de Strider... elle le veut, elle l'aura ! Le challenge ne parait pas si compliqué à la base, d'autant que celui-ci est plus que réceptif à son charme. Seul énorme problème, Kaia a déjà fait des folies de son corps avec un autre seigneur de l'ombre (pire que Les Feux de l'amour, je vous le dis moi !) et au delà du fait que Strider est jaloux, il ne peut surtout pas passer après Paris... le gardien de Luxure... "Sexorciste" comme l'appellent les harpies entre elles... parce, sérieusement, il ne pourra jamais être meilleur au lit que son ami... et son démon ne le supportera pas !
Je vous laisse imaginer les proportions que cela va prendre au fur et à mesure de leur rapprochement... c'est absolument démesuré ! Et s'il n'y avait que ça, en parallèle, Kaia et ses sœurs vont en baver lors des Jeux. Bref, un tome riche en émotions, surtout pour la demoiselle.
Ces jeux justement et les harpies sont le gros point fort de ce tome. On ne s’ennuie pas une seconde avec elles. C'est très agréable aussi de retrouver un comité réduit plutôt que toute la bande de démons au grand complet. Et contrairement au tome précédent où personne ne s'était soucié des objets de pouvoir, là la quête reprend de plus belle et avance même considérablement, sans être chiant pour autant (c'était un peu le cas les dernières fois...).
Le seul souci que j'ai finalement eu avec cette lecture est du à tout ce qui est annexe... Paris, toujours dépressif, mais qui, enfin, décide de se bouger, ça fait du bien même si les choses n'avancent pas des masses. Par contre, William en mode exterminator, je suis pas super fan. La palme des passages chiants revient tout de même à Kane, gardien de Désastre, qui m'a complètement perdu... voir désintéressée au plus haut point. Je comprends que l'auteure mette en place certains indices pour les tomes suivants, mais là, c'est se prendre pour une reine du suspense sans y arriver... dommage.
En résumé, un tome qui remonte le niveau même si on n'a pas encore retrouvé la qualité des 1ers tomes. Une romance très sympa et une ambiance plaisante et divertissante. Tout de même quelques petites longueurs, même si elles ne m'ont pas vraiment dérangées. Un bon moment de lecture donc si on laisse de côté les passages dédiés à Kane et William le chaud lapin.
PS : Ashlyn... on pense à toi ;)
Infos livre.
Année de parution VF : 2013
Année de parution VO : 2011
Titre VO : Lords of the underworld, book 8 : The Darkest Surrender
Éditions : Harlequin (Nocturne)
Genre : Romance paranormale
Nombre de pages : 487
Prix : 7.50€
Note : 16/20
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